Le blog d’Evelyne

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L’Âme soeur : quelques extraits de presse

« C’est le théâtre fascinant de son nouveau récit passionnant de bout en bout » (LE FIGARO, Thierry Clermont)

« Un livre remarquable, qui nous rend ses personnages étonnamment proches. » (LE MONDE DES LIVRES, Raphaëlle Leyris)

« Elle bouscule les codes en entremêlant l’ébauche d’un récit de sa propre vie, ce que l’autorise à faire, avec brio, son immense culture musicologique » (LIBERATION, Yannick Ripa)

« Évelyne Bloch-Dano reconstitue avec habilité et limpidité la vie culturelle impériale et la Bohême des Mahler. » ELLE, Virginie Bloch-Lainé

 « Passionnant ouvrage, véritable plongée dans l’intimité d’un couple et de la création. » (L’EXPRESS, Marianne Payot)

« L’Âme sœur, étonnante autopsie d’une passion » (TELERAMA, Fabienne Pascaud)

«  Le livre tient captif du début à la fin grâce à la profondeur de son analyse. L’auteure de « Madame Zola » est une portraitiste subtile. » L’OBS, Claire Julliard

« Une épopée fascinante. » (LA VIE, Anne Berthod, Marie Chaudey)

« L’Âme sœur est une biographie qui se découvre comme un roman. » (CENTRE PRESSE, Anne Irjud)

« Voilà pourquoi on aime Évelyne Bloch-Dano. Elle ose faire le portrait de personnages méconnus mais qui ont illuminé la vie de grands destins. » (SUD OUEST, Isabelle de Montvert-Chaussy)

Un récit biographique hors norme aux allures de roman. (PIANISTE, Lou Héliot)

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2022

Bonne année à tous !

J’avoue que cette fois encore, ces paroles rituelles me paraissent un peu creuses. J’ai toujours détesté ces débuts d’année, l’hiver, les mois de janvier et février. Mais quand je pense individuellement à ceux que j’aime, ou même simplement à ceux que je connais et apprécie, elles reprennent sens. Je répugne toujours à raconter des choses trop personnelles. Disons seulement que l’année passée a été l’occasion de grandes joies mais aussi d’événements  tristes ou même tragiques, comme la mort d’amis proches. Je commence 2022 dans notre nouvelle maison du bord de mer, et le ciel est couleur d’espoir malgré la pandémie. Pour l’optimiste invétérée que je suis, cependant, cette joie de vivre se mêle à la conscience de notre fragilité, au caractère éphémère de toutes nos constructions…Mais janvier est aussi le mois de la plantation des arbres. Nous sommes allés hier chez le pépiniériste et avons commandé quelques arbres et arbustes, des rosiers grimpants, une glycine et un mimosa qui s’ajouteront à ceux que nous avons plantés l’an dernier. N’est-ce pas la meilleure façon de défier le temps et la mélancolie de ce début d’année ?

Mon année sera assez tranquille. Je participe aux expositions et aux événements liés au centenaire de la mort de Marcel Proust. J’ai collaboré au catalogue de la Villa du temps retrouvé à Cabourg, à celui de la superbe exposition Proust : un roman parisien de Carnavalet musée de Paris et à celui du MahJ dont l’exposition sur Proust du côté de la mère débutera à la mi-avril. Je vais honorer dans la mesure du possible les engagements pris (en fonction de l’épidémie) mais j’avais prévu de faire de 2022 une année de réflexion sur les livres que j’ai vraiment envie d’écrire. Une pause, un texte romanesque très différent en cours et la jouissance douce de ce que me propose la vie. Ce n’est déjà pas si mal…

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Prix FEMINA : les lauréats

Et les lauréats sont :

Clara Dupont-Monod, S’adapter (Stock)
Ahmet Altan, Madame Hayat (Actes Sud)
Annie-Cohen Solal, Un étranger nommé Picasso (Fayard)
Les finalistes étaient
ROMANS EN LANGUE FRANCAISE
Nina Bouraoui Satisfaction Lattès
Jean Baptiste Del Amo, Le Fils de l’homme Gallimard
Clara Dupont Monod S’adapter Stock
Thomas B Reverdy Climax Flammarion
Mohammed Mbougar Sarr La plus secrète mémoire des hommes Philippe Rey
ROMANS ETRANGERS
Ahmet Altan Madame Hayat, traduit par Julien Lapeyre de Cabanes, Actes Sud
Jan Carson Les Lanceurs de feu, traduit par Dominique Goy-Blanquet, Sabine Wespieser
Daniel Loedel, Hadès Argentine, traduit par David Fauquemberg, La Croisée
Joyce Maynard Où vivaient les gens heureux, traduit par  Florence Lévy- Paoloni, Philippe Rey
Leonardo Padura Poussière dans le vent , traduit par René Solis, Metailié
ESSAIS
Frédéric Gros La honte est un sentiment révolutionnaire Albin Michel
Claude Habib La Question trans Gallimard
Arthur Lochmann Toucher le vertige Flammarion
Amos Reichman Jacques Schiffrin un éditeur en exil Seuil
Perrine Simon Nahum Les Déraisons modernes Ed. de L’Observatoire
Merci au musée Carnavalet-Histoire de Paris qui nous a offert un cadre unique pour les délibérations et la proclamation des Prix.

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Mur, mur

Toute modestie mise à part, je suis infiniment touchée et fière de voir mon nom et mes livres figurer  sur la façade du Lycée Mézeray d’Argentan où j’ai enseigné durant 11 ans. Merci à la Ville d’Argentan, et merci surtout à Jean-François Sineux !

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Un endroit où aller

J’étais lundi 17 mai  l’invitée  de Un endroit où aller, des rencontres formidables sur une plateforme numérique, crées et animées par la libraire Nathalie Couderc et l’écrivaine Frédérique Deghelt.

C’est Linda Pommereul de la librairie Doucet au Mans qui m’a interviewée.

Merci à toutes les 3 !

Elles ont lancé leur site lors du premier confinement, quand les librairies étaient fermées. Depuis, c’est un immense succès.

Allez voir leur site, et promenez-vous dans toutes ces belles librairies partenaires !

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Rencontre-concert au mahj

La recontre-concert du mahj a eu lieu le 31 mars comme prévu. Joie immense de nous retrouver et de parler-jouer devant un « vrai » public, même réduit.

Vous pouvez retrouver l’entretien avec Philippe Venturini, journaliste à France Musique, et le beau concert de  mes amies musiciennes sur le YouTube du site du mahj :

Virginie Buscail violon

Violaine Desqueyroux  alto

Diana Ligeti violoncelle

Jennifer Tani soprano

Anne-Lise Gastaldi piano

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Trouvez L’âme soeur !

La parution d’un nouveau livre en librairie devrait être un jour de liesse, de délivrance. Enfin, les lecteurs vont tenir dans leur mains ce texte auquel vous avez travaillé depuis des années (fin 2017 pour le début de la réflexion sur celui-ci), enfin ils vont en tourner les pages et peut-être l’aimer. En temps normal, cette sortie est accompagnée (et parfois précédée), de rencontres, de conférences, de salons littéraires. J’ai assez pesté contre ces Salons du livre pour m’apercevoir qu’aujourd’hui…ils manquent cruellement.

Et cette fois, la parution s’accompagne d’un léger sentiment d’étrangeté que je n’ai jamais éprouvé.  Est-ce la situation générale liée à la Covid ? Le ralentissement général de toutes les opérations (éditeurs, attachées de presse, journalistes en télétravail : une pensée émue pour ces jeunes femmes qui travaillent entre leur téléphone, leur ordinateur, et le petit dernier qui réclame leur attention), le couvre-feu à 18h et la fermeture des restaurants (adieu les déjeuners et les dîners de presse ou les entretiens  autour d’un verre),  l’absence de toute rencontre avec les lecteurs, et l’impossibilité de voyager (fini le voyage à Vienne sur les traces de Gustav Mahler et de Natalie Bauer-Lechner) entourent cette parution d’une sorte de duvet à la fois protecteur et étouffant.

Encore suis-je très privilégiée grâce aux émissions de France Musique qui ont donné un magnifique écho musical à mon livre  ! Les cinq épisodes de mon « feuilleton » sont disponibles sur le site de France Musique en podcast ou en replay. Et les librairies ont été déclarées « commerce essentiel », ce qui est inestimable. Nous ne subirons pas la situation du 2ème confinement.

Donc oui, depuis le 10 mars, on peut trouver L’âme soeur !

Alors, confiance, confiance et espoir !

France Musique