La version italienne de Mes maisons d’écrivains, chez add editore qui a déjà publié La favolosa storia delle verdure et Giardini di carta.
Traduction de Sara Prencipe e Michela Volante
La version italienne de Mes maisons d’écrivains, chez add editore qui a déjà publié La favolosa storia delle verdure et Giardini di carta.
Traduction de Sara Prencipe e Michela Volante
Une édition revue et augmentée d’un chapitre sur le questionnaire « Confidences » découvert en avril 2018.
Il vient d’arriver en librairie ! Des années de visites dans plus de cent maisons d’écrivains, en France et à l’étranger, aboutissent à cet épais volume, illustré par Marion Cochard. Sur la couverture, un tableau, Le petit atelier de Jean-François Sineux. C’est bien cette plongée dans l’atelier créatif des écrivains que j’ai voulu raconter, le lien entre un lieu et une écriture, un lieu et une vie. On peut lire en effet ces textes à la fois comme la photographie d’un lieu mais aussi comme des biographies intimes. Vies rêvées, partagées, solitaires : partons à la rencontre des maisons d’écrivains, et peuplons-les grâce à notre imaginaire…
Joie de voir ma biographie de Flora Tristan dans le Livre de poche.
Aventurière, militante avant-gardiste des droits des travailleurs et des femmes, cette personnalité flamboyante, contemporaine de George Sand, est mal connue du public. Dommage car la belle Flora Tristan connut un destin romanesque et hors norme. Faut-il ajouter qu’elle fut également la grand-mère de Paul Gauguin ?
Paper Gardens, la traduction anglo-américaine des Jardins de papier sous une élégante jaquette publiée par University of Virginia Press, avec une préface d’Alice Kaplan. La traduction est de Teresa Lavender Fagan, qui avait déjà traduit La fabuleuse histoire des légumes (University of Chicago Press). Sous la rose, les épreuves de Du côté de chez Swann corrigées de la main de Marcel Proust. Paper Gardens a reçu le « French Voices Award » qui couronne les meilleures traductions .
Paper gardens est mon quatrième livre publié en anglais chez un éditeur américain. Merci à eux !
www.upress.virginia.edu
La photo de couverture est inédite (© Association du Musée Emile Zola). Elle est l’une des dernières du romancier avant sa mort, en septembre 1902. Elle le montre à Médan au côté de son épouse Alexandrine. Dans les bras d’Emile Zola, le petit chien Fan, qui lui survivra quelques années.
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(Quelques exemples des livres traduits)
Les traductions ont quelque chose de miraculeux : voir son livre dans une autre langue, parfois écrit avec d’autres caractères, se dire qu’il sera lu à l’autre bout de la planète ou simplement dans un autre pays, c’est prendre conscience du chemin parcouru.
Il y a quelques mois encore, votre texte n’existait que dans la solitude – et maintenant, grâce à toute la chaîne du livre – éditeur, traducteur, imprimeur, libraire – le voici à New York, Rome ou Pékin.
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