Mon 7ème ouvrage au Livre de Poche
Et voici Jardins de papier dans son habit vert menthe tout neuf, et sa traduction dans la belle langue italienne par Sara Prencipe.
Plus d’informations sur le site de l’éditeur, Add editore, et notamment, les nombreux articles de la presse italienne consacrés au livre.
« Promenez-vous dans ce livre comme dans un parc, en toute liberté. Empruntez tel chemin, évitez tel autre, arrêtez-vous, revenez sur vos pas, respirez le parfum d’une métaphore ou vagabondez au détour d’une phrase dans vos propres souvenirs. Et surtout, à votre tour cultivez votre jardin, en pleine terre, en pots, en rêve ou en mots… »
Jardins de papier a reçu le prix Versailles : Lire au jardin. Le jury est présidé par Alain Baraton.
Un récit autobiographique où se conjuguent la mémoire qu’on perd, celle d’Edith la mère, et la mémoire qu’on sauve, celle d’Evelyne, la fille. Un quartier aux lisières de Paris, la porte de Champerrret, un appartement, une famille, des sentiments forts et doux…
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Un récit autobiographique où se conjuguent la mémoire qu’on perd, celle d’Edith la mère, et la mémoire qu’on sauve, celle d’Evelyne, la fille. Un quartier aux lisières de Paris, la porte de Champerret, un appartement, une famille, des sentiments forts et doux…
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« This allusive, impressionistic, quintessentially French tour of the kitchen garden takes us from aphrodisiac artichokes to Zola’s gritty stalls, with a literary and gustatory detour. Lazy summers in grandmother’s garden, the frenzy for fresh winter peas that gripped the court at Versailles in 1660, the global travels of the chilly pepper, the contested history of Cinderella’s pumpkin – it’s all here, and it’s all fun. »
Jane S.Smith, author of The Garden of Invention : Luther Burbank ans the Business of Breeding Plants
http://fr-fr.facebook.com/UniversityofChicagoPress/posts/317668604962414
Décembre 1849. George Sand est en France une célébrité au faîte de sa gloire. Pour Noël, son fils Maurice invite à Nohant un jeune homme de ses amis, un graveur inconnu : Alexandre Manceau. George Sand a quarante-cinq ans, Alexandre trente-deux. Ils ne se quitteront plus.